À la fin de cette décennie, les batteries à semi-conducteurs tant attendues devraient arriver en masse. Celles-ci, rappelons-le, présentent une amélioration significative en termes de densité énergétique, ce qui pourrait permettre d’obtenir des batteries plus compactes et donc plus légères, sans compromettre leurs spécifications. Bien entendu, comme elles nécessitent une plus petite capacité (moins de kWh), elles seront également moins chères que les batteries actuelles.
Comme on peut le voir, les avantages sont nombreux. C’est pourquoi de nombreuses entreprises (presque toutes, en fait) travaillent sur cette technologie. En fait, des marques comme Toyota ont déjà confirmé que, d’ici la fin de la décennie, elles auront leurs premiers modèles équipés de batteries à l’état solide et que, d’ici le début de la prochaine décennie, elles auront atteint une autonomie de 1.200 kilomètres par charge.
Nouveau partenariat pour développer les batteries à l’état solide
Le mouvement des partenariats autour de cette technologie est tel que LG Chem et Factorial Energy, deux entreprises leaders du secteur, se sont associées pour partager leurs connaissances et pouvoir ainsi lancer leurs premières batteries à l’état solide le plus rapidement possible. Ce nouveau partenariat a été publié ces dernières jours et a été signé par le biais d’un protocole d’accord entre les deux entreprises. L’idée est claire : être en mesure de diriger le segment de cette technologie dans un avenir proche.