Les batteries électriques évolueront avec la découverte de composés permettant d’augmenter leur capacité, comme c’est le cas ici.
De nombreuses alternatives aux batteries lithium-ion traditionnelles, notamment les batteries lithium-ferrophosphate (LFP), ont fait parler d’elles ces derniers temps. Mais les fabricants ne parviennent pas à se mettre d’accord sur le meilleur composé pour que ce composant ait la plus grande capacité possible et une durée de vie utile qui rende son incorporation dans les voitures électriques commercialisées rentable.
On parle de sodium et de matériaux organiques, entre autres composés, pour réduire l’utilisation du lithium, qui est beaucoup plus rare, plus cher et plus difficile à obtenir que d’autres métaux et composés. Certains parlent directement de la pile à combustible à hydrogène ou du flux de vanadium comme étant les seules alternatives possibles aux voitures BEV, tandis que d’autres voient dans le soufre la solution aux batteries, comme c’est le cas de Stellantis.
Un commentaire
1000 cycles ce n’est pas beaucoup au final, et le graphène coûtent très cher et rare, donc au final, je ne sais pas si cette technologie tiens la route par rapport au lithium fer phosphate et nickel cobalt, etc.Stellantis veux vendre cher ses voitures électriques, avec les plus grosses marges possible, donc non merci.Je surveillerai juste a cette technologie.Je préfère les moteurs a hydrogène liquide ou solide pour notre futur pour les transports a terme.